L’essentiel
- Annie Knight, influenceuse de 28 ans, a été hospitalisée après un défi sexuel de masse impliquant 583 hommes en six heures.
- Souffrant d’endométriose, elle a subi des complications physiques sérieuses, dont une déchirure et des saignements abondants.
- D’autres stars d’OnlyFans ont aussi tenté des records similaires, dont Bonnie Blue (1 057 partenaires en 12h) et Lily Phillips (101 hommes en une journée).
Un « défi facile »… qui vire à l’hospitalisation
C’est un chiffre qui donne le vertige. Le 18 mai, Annie Knight, influenceuse australienne de 28 ans suivie par des milliers de fans sur OnlyFans, a tenté de repousser les limites physiques en ayant des rapports avec 583 hommes. Un record personnel explosé – elle avait déjà tenté 24 partenaires en une journée. Cette fois, elle visait beaucoup plus haut… mais son corps a dit stop.
Deux jours après l’événement, elle a été hospitalisée pour douleurs aiguës, déchirures et saignements. Depuis son lit d’hôpital, elle a posté une photo avec un message glaçant : « Apparemment, 583 hommes en une journée, ce n’est pas si bon pour le corps. »
“Je vais m’en remettre, mais c’est douloureux”
Diagnostiquée avec de l’endométriose, une maladie gynécologique chronique, Annie a confié à Us Weekly qu’elle vivait un vrai calvaire depuis l’événement : « Je saigne abondamment depuis le défi. C’est très irrité et j’ai une petite déchirure. Je vais m’en remettre, mais c’est douloureux et inconfortable. »
Un phénomène controversé sur OnlyFans
Ce type de “performance” n’est pas inédit. Plus tôt cette année, Bonnie Blue, également star d’OnlyFans, avait revendiqué avoir eu des rapports avec 1 057 hommes en 12 heures. Un chiffre qui pulvérise le record détenu par Lisa Sparxxx (919 hommes en 24 heures). Dans le même temps, Lily Phillips avait raconté dans un documentaire YouTube intitulé “J’ai couché avec 100 hommes en une journée” les coulisses de sa propre performance sexuelle extrême.
Ces défis, entre provocation, marketing et mise en danger, posent la question des limites du corps humain, mais aussi de la responsabilité des plateformes qui les hébergent. Et surtout : jusqu’où certains iront-ils pour du buzz ?
