L’essentiel
- Josey a révélé que Serey Dié lui interdit de danser le mapouka sur scène par amour et instinct protecteur.
- La chanteuse voit cela comme une marque d’attention, non comme de la jalousie.
- « C’est sa chasse gardée… et j’aime trop ça », confie-t-elle avec tendresse.
Une question qui revient souvent…
Depuis quelque temps, les fans de Josey se posaient une question bien précise : pourquoi la chanteuse ivoirienne évite-t-elle désormais de danser le mapouka, cette danse sensuelle typiquement ivoirienne qui électrisait autrefois ses concerts ? La réponse, elle l’a donnée avec son franc-parler habituel.
« Alors moi, je vais vous répondre par une question, en bonne Ivoirienne : quand tu aimes quelque chose, est-ce que tu veux vraiment la voir exposée partout ? Non », lance-t-elle dans une interview récente. Une réponse aussi sincère que piquante.
Pas de jalousie, juste de la fierté
Pour Josey, l’interdiction n’est pas un acte de possession, mais plutôt un signe d’attachement profond. « Nous, les Ivoiriens, on a un ego, une fierté qui ne dit pas son nom. Quand on aime quelqu’un ou quelque chose, on n’aime pas le voir partout, dans n’importe quelles circonstances. »
Elle compare cette retenue à un parfum qu’on adore ou à une tenue favorite qu’on ne veut pas voir banalisée. « Quand tu adores un parfum, tu n’aimes pas que tout le monde le porte, partout, n’importe comment. »
“Sa chasse gardée”
Et pour finir, Josey avoue qu’elle apprécie ce petit côté protecteur de son homme : « Il protège ce qu’il aime. Et moi, j’aime bien ce petit côté où il m’empêche de danser en public. C’est sa “chasse gardée”… et j’aime trop ça. »
Une déclaration pleine de tendresse qui a touché de nombreux fans. Comme quoi, parfois, l’amour se danse… mais en privé seulement.