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Décès de Vincent Honoré : Tout savoir sur la disparition tragique du directeur des expositions du MO.CO à 48 ans

Vincent Honoré, directeur des expositions au Mo.Co de Montpellier, est décédé le 29 novembre 2023 à l’âge de 48 ans. La rédaction du média Lebledbuzz.com vous révèlera dans cet article tous les contours sur la disparition tragique de ce grand homme des expositions du MO.CO.

Vincent Honoré (C) Droits réservés
Vincent Honoré (C) Droits réservés

Vincent Honoré, directeur des expositions du MO.CO (Montpellier Contemporain), était une figure influente dans le monde de l’art contemporain en France.  Il y était en charge de tous les aspects artistiques, et y présente des expositions monographiques et thématiques. Sa récente disparition a marqué un tournant douloureux pour la communauté artistique.

Les débuts de Vincent Honoré

Vincent Honoré est né le 14 février 1978 à Paris, France. Très tôt, il a développé un intérêt pour l’art et la culture, ce qui l’a conduit à poursuivre des études dans ce domaine. Après avoir obtenu un baccalauréat en arts, il s’inscrit à l’École du Louvre, où il se spécialise dans la gestion et la scénographie des expositions. Sa passion pour l’art contemporain et son désir de comprendre les mécanismes de l’exposition l’ont poussé à obtenir un Master en Histoire de l’Art à l’Université Paris-Sorbonne.

Vincent Honoré a débuté sa carrière au Palais de Tokyo en 2000, où il a travaillé jusqu’en 2004. Il a ensuite déménagé à Londres pour rejoindre la Tate Modern, où il a contribué à des expositions majeures. En 2008, il est devenu le directeur fondateur de la David Roberts Art Foundation (DRAF), un centre dédié à la recherche, la production et la performance.

« J’aime Londres et cette ville va me manquer. Mais je ne pourrais pas rester et continuer à prétendre que le Brexit ne m’a pas affecté politiquement, émotionnellement et intellectuellement. J’ai besoin d’appartenir au pays où je vis » avait-il confié sur son départ.

Honoré a également été commissaire de la 13ème édition de la Baltic Triennial et du pavillon du Kosovo à la Biennale de Venise en 2019. Ses expositions à la Hayward Gallery, telles que “Drag: Self Portrait and Body Politics” (2018) et “Kiss My Genders” (2019), ont été particulièrement marquantes.

Avant de devenir une figure clé du MO.CO, Vincent Honoré a commencé sa carrière en tant que commissaire d’exposition indépendant. Il a travaillé sur plusieurs projets au sein de galeries parisiennes et a collaboré avec divers artistes contemporains émergents. Ses premiers projets ont été marqués par une approche innovante et une capacité à créer des dialogues significatifs entre l’art et le public.

Carrière au MO.CO (Montpellier Contemporain)

Vincent Honoré a rejoint le MO.CO de Montpellier en 2015 en tant que directeur des expositions. Le MO.CO est un centre d’art contemporain de premier plan en France, et sa nomination a été perçue comme un tournant pour l’institution.

« Je suis très excité à l’idée de rejoindre Nicolas Bourriaud, en tant que directeur des programmes et des expositions du MoCo (Montpellier Contemporain, ndlr) », avait déclaré Vincent Honoré.

Honoré a apporté avec lui une vision moderne et audacieuse, visant à redéfinir la manière dont les expositions étaient présentées et vécues. Il travaillait en étroite collaboration avec le directeur général de l’institution, qui regroupe l’école d’art, le centre d’art La Panacée et le musée des Collections (ouvert en 2019). Une équipe de jeunes curateurs adjoints fut également annoncée (Caroline Chabrand, Anya Harrison, Jacqueline Kok, Victor Secretan, Anna Kerekes), ainsi que la création du post-diplôme « Saison 6 ».

Depuis l’arrivée de Numa Hambursin, il prit en charge plus de 55% des commissariats ou co-commissariats, dépassant ainsi les pratiques sous la direction de Nicolas Bourriaud. Il participa aux visites de presse, aux vernissages, et fut remercié nommément à chaque inauguration, tout comme sous la direction de Nicolas Bourriaud.

Sous sa direction, le MO.CO a accueilli plusieurs expositions marquantes qui ont attiré l’attention internationale. Vincent Honoré a été responsable de la mise en place de projets qui mêlaient art visuel, installations interactives et événements culturels. Ses expositions ont souvent cherché à provoquer la réflexion et à engager le public dans des expériences immersives. Parmi ses projets les plus notables figuraient des expositions consacrées à des artistes contemporains tels que Daniel Buren, Tatiana Trouvé, et Pascale Marthine Tayou.

Vincent Honoré était reconnu pour sa philosophie avant-gardiste en matière de gestion des expositions. Il croyait fermement que les expositions devaient être des espaces de dialogue et d’échange, plutôt que de simples vitrines d’art. Il a mis en place des programmes éducatifs et des événements qui permettaient au public de s’engager activement avec les œuvres présentées. Sa vision incluait également une forte dimension numérique, cherchant à utiliser les nouvelles technologies pour enrichir l’expérience des visiteurs.

 

Contributions au monde de l’art

Vincent Honoré a eu une influence significative sur le marché de l’art contemporain. Sa capacité à repérer et à promouvoir des artistes émergents a contribué à dynamiser le marché et à offrir des opportunités à de nombreux créateurs. Il a également joué un rôle clé dans la mise en avant des talents français sur la scène internationale, en établissant des collaborations avec des institutions artistiques de renom à travers le monde.

Vincent Honoré était connu pour son engagement envers les artistes femmes et queer. Il a fondé la série de livres “Drawing Room Confessions”, qui se concentre sur les œuvres d’un artiste par édition. Il a également écrit des critiques d’art pour des publications comme Mousse magazine et Cura.

Au Mo.Co, Honoré a joué un rôle clé dans la programmation des expositions, assurant plus de 55% des commissariats ou co-commissariats. Ses expositions monographiques et thématiques, telles que “Posédé.e.s” (2020-21) et “L’épreuve des corps” (2021-22), ont été largement acclamées.

En plus de son rôle de directeur des expositions, Vincent Honoré était également impliqué dans l’enseignement et le mentorat. Il a donné des conférences et dirigé des ateliers sur la gestion des expositions et la scénographie, partageant ses connaissances avec les jeunes professionnels du secteur. Ses élèves et collègues l’ont décrit comme un mentor inspirant, passionné par l’art et désireux de transmettre son expertise.

Vincent Honoré a écrit plusieurs articles et critiques pour des publications spécialisées dans l’art contemporain. Ses écrits ont souvent exploré les tendances émergentes dans le monde de l’art et ont offert des analyses profondes des expositions et des œuvres d’art. Ses contributions à la critique artistique ont été largement reconnues pour leur perspicacité et leur profondeur.

La Vie personnelle de Vincent Honoré

Famille et relations

Vincent Honoré était discret concernant sa vie personnelle. Cependant, il était connu pour être un homme de famille dévoué, partageant sa vie avec son épouse et ses enfants. Honoré était un homme profondément engagé dans son travail, mais il savait aussi trouver un équilibre avec sa vie personnelle. Il était le père d’une fille de 16 ans, à qui il était très attaché. Malgré les exigences de sa carrière, il faisait toujours en sorte de passer du temps de qualité avec elle, partageant avec elle son amour pour l’art et la culture.

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Passions et intérêts

En dehors de son travail, Vincent Honoré avait plusieurs passions, notamment la photographie et la littérature. Il aimait voyager et découvrir de nouvelles cultures, ce qui nourrissait son travail de curateur. Ses voyages lui permettaient de rencontrer des artistes du monde entier et d’élargir ses horizons artistiques. Il était également un grand amateur de littérature et de cinéma, des passions qu’il partageait souvent avec ses amis et sa famille.

Honoré était connu pour son esprit curieux et son désir constant d’apprendre. Il passait beaucoup de temps à lire et à se documenter sur les dernières tendances artistiques et culturelles. Ses amis et collègues le décrivaient comme une personne généreuse, toujours prête à partager ses connaissances et à aider les autres.

Malgré son succès professionnel, Vincent Honoré restait humble et accessible. Il était apprécié pour sa capacité à écouter et à comprendre les autres, qualités qui faisaient de lui un excellent curateur et un collègue apprécié. Sa maison était souvent un lieu de rencontre pour les artistes et les intellectuels, où les discussions sur l’art et la culture se prolongeaient tard dans la nuit. Ses proches et collègues le décrivaient comme une personne curieuse et avide de découvertes, toujours prête à apprendre et à s’impliquer dans de nouveaux projets créatifs.

Les circonstances du décès de Vincent Honoré

Annonce et réactions

Le 29 novembre 2023, Vincent Honoré a été retrouvé mort chez lui à Montpellier. Les causes de son décès ont été attribuées à un suicide. En novembre 2023, Vincent Honoré, directeur des expositions et des programmes au Mo.Co, le centre d’art contemporain de Montpellier, est décédé à l’âge de 48 ans. Sa mort, survenue le 29 novembre, a été attribuée à un suicide. C’est dans un communiqué du MO.CO. que la triste nouvelle est tombée le vendredi 1er décembre 2023.

« Nous perdons aujourd’hui un collègue extraordinaire et inspirant, qui va laisser un vide immense au sein de notre communauté. Son héritage perdurera à travers toutes les expositions qu’il a conçues, comme actuellement celle d’Huma Bhabha, et les jeunes artistes qu’il a conseillés et soutenus. En ces moments difficiles, nos pensées vont à sa famille, ses proches, et tous ceux qui ont eu le privilège de travailler à ses côtés » a déclaré le musée montpelliérain.

Honoré se sentait marginalisé dans son poste, et la Sécurité sociale a reconnu que son mal-être professionnel était un facteur contributif à son décès. Cependant, l’institution a contesté cette conclusion, qualifiant l’événement de « drame personnel ». La découverte de son corps sans vie à son domicile a profondément choqué le milieu de l’art contemporain.

Les rumeurs sur les fragilités, les doutes et les difficultés d’adaptation de Vincent Honoré, héritées de l’ère Bourriaud, étaient nombreuses. Il avait postulé dans d’autres centres d’art, notamment à la Collection Lambert à Avignon. Cependant, à la fin de son contrat, Vincent Honoré fut reconduit à Montpellier par le directeur actuel, Numa Hambursin, avec une augmentation de salaire.

« Le MO.CO. condamne avec la plus grande fermeté ce qu’il considère comme une instrumentalisation insupportable d’un évènement tragique qui mérite un traitement digne, mesuré et respectueux de tous.”

Le MO.CO. est particulièrement choqué par l’article du Quotidien de l’Art paru le 31/05/24 sous la signature de Magali Lesauvage, commentant la décision de la CPAM qualifiant d’« accident du travail » le décès de Vincent Honoré, survenu le 29/11/23 dans des circonstances tragiques. Il repose sur une succession d’assertions que nous considérons comme non fondées qui portent atteinte à l’honneur de l’institution et que nous réfutons avec force.

Ce drame personnel, éminemment tragique et bouleversant, méritait un traitement sensible, mesuré et attentif à chacune des personnes concernées. Si, comme déjà relaté dans l’article, le MO.CO. entend réserver ses arguments aux organismes et juridictions en charge du contentieux en cours, l’atteinte grave à l’institution et à l’honneur de certaines personnes nommément citées le conduit à réagir avec fermeté, en s’appuyant sur des arguments factuels et incontestables.

Le lendemain du drame, le MO.CO a fait preuve d’une bienveillance naturelle et d’une attention accrue auprès de l’ensemble du personnel. Une cellule d’aide psychologique a été mise en place dans la semaine pour l’ensemble des équipes. Une attention particulière a été portée aux agents du service curatorial dont Vincent Honoré avait la charge, en l’associant à toute rédaction de communiqué de presse, aux propositions et modalités de l’hommage qui lui a été rendu par le MO.CO.

Tout a donc été mené avec leur consentement et leur validation. Sa mémoire a été honorée avec sensibilité à travers de nombreux dispositifs, comme la gratuité de l’exposition Huma Bhabha qu’il venait d’inaugurer ou les hommages rendus dans les discours, dans le catalogue et dans l’exposition « Entre les lignes » auxquels il avait œuvré. Le MO.CO a naturellement adressé un bouquet accompagné d’une carte à la famille qui a transmis en retour une lettre de remerciements.

Contrairement à ce qui est affirmé, le MO.CO. n’a jamais refusé de lancer une enquête administrative mais a sollicité préalablement du syndicat demandeur, les éléments en sa possession qui le conduisaient à en faire la demande. Cette demande de précision, transmise le 12/12/23, n’a reçu aucune réponse ni même le moindre accusé de réception.

Le MO.CO. a tenu informé les représentants des personnels au moment du démarrage de l’enquête de la CPAM le 01/02/24, et dès le lendemain de la réception de la décision de la CPAM le 21/03/24. Le MO.CO. l’a communiqué également, de sa propre initiative, lors du Comité Social Territorial et du Conseil d’Administration du 05/04/24.

De multiples témoignages et éléments factuels réfutent définitivement les assertions que nous considérons comme non fondées de cet article. Vincent Honoré a été conforté dans son poste par le nouveau directeur général Numa Hambursin dès son arrivée en 2021. Son contrat a été renouvelé en 2022 avec revalorisation de son salaire et pour la durée maximale autorisée.

Depuis l’arrivée de la nouvelle direction, aucun changement n’a été opéré sur sa fiche de poste ni sur l’organigramme. Directeur des expositions, il a toujours bénéficié d’une grande liberté pour développer et mener à bien les projets de l’établissement, en termes de ressources humaines et budgétaires, d’autonomie opérationnelle. Son positionnement et ses responsabilités n’ont jamais été remis en cause. Il faisait naturellement partie du comité de direction au sein duquel son avis et sa voix ont toujours compté.

Loin d’être « invisibilisé », Vincent Honoré participait en étroite collaboration avec le directeur général à la programmation des expositions. Il assurait depuis l’arrivée de Numa Hambursin, plus de 55% des commissariats ou co-commissariats, ce qui est supérieur à ce qui était pratiqué sous la direction de Nicolas Bourriaud. Il participait aux visites de presse, aux vernissages, et était remercié nommément à chaque inauguration, comme sous la direction de Nicolas Bourriaud. Sa visibilité médiatique a toujours été garantie et avérée.

A titre d’exemple, l’exposition Ana Mendieta de l’été 2023 dont il était co-commissaire a donné lieu à 52 articles de presse. Il y est cité 32 fois, contre 11 fois pour la co-commissaire Rahmouna Boutayeb et 6 fois pour Numa Hambursin. Dans le catalogue Huma Bhabha, son nom est mentionné 22 fois, celui de Numa Hambursin 11 fois. Loin d’être « dissimulé », son nom apparaît en première place de chaque livret, communiqués de presse et catalogues. Au moment de son décès, il était prévu qu’il soit commissaire ou co-commissaire de 5 expositions sur les 8 prévues programmées jusqu’à l’été 25.  

L’article évoque un « isolement » ou le fait que Vincent Honoré se « sentait pris au piège ». Au cours de ces dernières années, il n’a jamais posé d’arrêt maladie. Toutes ses demandes de congés, de télétravail, de cumul d’activité, ont, depuis l’arrivée de la nouvelle direction, été accordées sans exception. Entre 2022 et 2023, 30 ordres de mission ont été sollicités par Vincent Honoré contre 24 pour le directeur général sur la même période. Ils ont tous été accordés sans exception.  

La réflexion sur le fonctionnement du MO.CO. n’était en l’état qu’un projet qui nécessitait un consensus, ce qui a toujours été présenté comme tel et comme ce fut le cas de tous les projets de nature sociale menés au MO.CO. Il n’aurait impliqué aucune rétrogradation.

Vincent Honoré a toujours bénéficié de la reconnaissance due à sa qualité, son expertise et sa fonction. Sa dernière évaluation professionnelle effectuée par le directeur général en août 2023 se conclue par « Un agent investi et de talent ».

Si son remplacement n’a pas été engagé à ce jour, c’est précisément à la demande du service curatorial lui-même, qui a souhaité soumettre une organisation alternative et collégiale, sans fonction de direction du service.

» a répondu le Mo.co.

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Hommages

En hommage à Vincent Honoré, décédé le 29 novembre 2023 à l’âge de 48 ans, l’accès à l’exposition qu’il avait conçue autour de l’œuvre de Huma Bhabha, intitulée “Une mouche est apparue, et disparut”, sera gratuit jusqu’à sa clôture le dimanche 28 janvier 2024 au Mo.Co. Ses collègues du centre d’art de Montpellier ont souhaité exprimer leur immense chagrin face à cette perte soudaine. Margaux Strazzeri, du service communication, a déclaré : « Nous sommes tous dévastés par la brutalité de sa disparition. »

Pour soutenir le personnel du centre d’art, une aide psychologique a été mise en place. Les deux lieux d’exposition du centre ont été fermés pendant deux jours, et une enquête a été ouverte pour déterminer les circonstances exactes du décès de Vincent Honoré à son domicile.

Bien que sa présence dans le monde de l’art contemporain montpelliérain ait été trop brève, Vincent Honoré y a laissé une empreinte indélébile. Il fut l’un des cofondateurs majeurs du Mo.Co aux côtés de Nicolas Bourriaud, qui l’avait recruté. Sa carrière internationale brillante inclut des postes à la Tate Modern, la David Roberts Art Foundation, la Hayward Gallery à Londres, ainsi qu’en Lituanie en tant que commissaire de la 13e Baltic Triennial.

Le maire de Montpellier, Michaël Delafosse, a exprimé sa profonde tristesse face à cette perte. De nombreux collègues et amis ont également partagé leurs souvenirs et leur admiration pour Honoré sur les réseaux sociaux.

« C’est avec stupeur et avec une profonde tristesse que j’ai appris la disparition de Vincent Honoré, directeur des expositions du MOCO. Je tiens à adresser ici mes sincères condoléances à sa famille et à ses proches, et à assurer ses amis et collègues du MO.CO. de mon entière solidarité et de ma profonde sympathie. Vincent Honoré a joué un rôle décisif dans l’invention de cet extraordinaire écosystème artistique qu’est le MO.CO.

Montpellier lui doit beaucoup. Les expositions dont il a assuré le commissariat ont laissé et continueront à faire exister une trace fondamentale dans l’imaginaire et la mémoire de beaucoup d’entre nous : Musées en exil bien sûr, et actuellement celle dédiée à l’artiste Huma Bhabha, pour n’en citer que deux.

L’amour qu’il portait aux artistes et leurs œuvres, associé à l’originalité du regard sensible et théorique qu’il portait sur l’évolution de l’art contemporain, en avait fait un acteur important du monde culturel européen. depuis 2019, il avait mis tout son talent et sa générosité au service de Montpellier et de ses publics. Sa disparition laisse aujourd’hui un grand vide, mais également un héritage auquel il est de notre devoir collectif de donner suite. En concertation avec l’équipe du MO.CO, un hommage lui sera prochainement rendu.» a écrit Michaël Delafosse.

 

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