La femme de littérature pense que cette entreprise coûte chère au camerounais. « Eneo coûte beaucoup trop cher au peuple ! Outre les prix trop élevés de l’électricité, il faut ajouter à cela, les aliments qui pourrissent dans les congélateurs et que l’on doit jeter, les pannes d’appareils provoquées par le retour brusque du courant, sans compter ces coupures qui mettent la vie et la sécurité des camerounais en danger. Eneo coûte beaucoup trop cher, pour si peu de lumière ! », écrit-elle.
Dans une autre publication, la Franco-camerounaise trouve curieux le fait que les personnes adultes se définissent comme étant encore jeunes. « En Occident, on cesse d’être jeune à 24 ans ! L’espérance de vie y est de 80 ans ! Au Cameroun, on se qualifie de jeune à 50 ans, l’espérance de vie y est de 47 ans ! Qu’est-ce qui ne fonctionne pas dans ce pays où des grands parents se définissent comme des jeunes et insultent des femmes ? Waouh ! », Déplore Calixthe Beyala.
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